Ombres Salvatrices
Douleur, souffre ombre du temps.
Cce fut un sortilège.
Le ventre de l'insipide naissance.
Royaume moribond.
Tu infliges l'écorchures de ma mort
Chair tu enveloppes sous tes souillures perverses
Tu poses les corps sur des piliers en sanglots...
Méprises la présence telle des ombres
Qui s'échappent du vent sommeillant
S'éveillera comme les ténèbres d'une évidente lumière
Lumières destructrices.
Ténèbres d'où puise les transcendances
Transcendances d'un plasma qui claustrophobe mon âme.
Ame d'une douleur d'un hiver sans fin.
D'une aube sans fin
Eclaire les ombres dans leurs chemins.
Eclaires, ombres d'existence et de
temps vers la pureté
Délivres les corps de l'immonde sortilège.
Aux bas fonds qui parjurent la douleur mystique.
Et diffuse l'aura d'une charnelle aube
Délivres l'espace de son regard et de sa dépression
Délivres, perfore la pudeur des cieux.
Pour les ombres.qu'ils furent
Délivres...
Blessures.
Enfonce le couteau...
Pour y verser la pureté
Et nous délivrer
Et nous délivrer
A jamais.
Sombras Salvadoras
Dor, sofre sombra do tempo.
Foi um feitiço.
O ventre da insípida origem.
Reino moribundo.
Tu infliges as chagas da minha morte
Carne que envolves sob tuas sujeiras perversas
Tu colocas os corpos sobre pilares em prantos...
Desprezas a presença como sombras
Que escapam do vento adormecido
Acordarão como as trevas de uma luz evidente
Luzes destrutivas.
Trevas de onde brotam as transcendências
Transcendências de um plasma que claustrofobia minha alma.
Alma de uma dor de um inverno sem fim.
De uma aurora sem fim
Ilumina as sombras em seus caminhos.
Ilumina, sombras de existência e de
tempo rumo à pureza
Liberta os corpos do imundo feitiço.
Nos abismos que perjuram a dor mística.
E difunde a aura de uma aurora carnal
Liberta o espaço de seu olhar e de sua depressão
Liberta, perfura a pudor dos céus.
Para as sombras, que foram
Liberta...
Feridas.
Crava a faca...
Para derramar a pureza
E nos libertar
E nos libertar
Para sempre.