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Carnaval

Messia Danielle

Carnaval

Le feu un beau jour est entré dans la vie.
Ses yeux comme des étoiles dans un ciel tranquille.
Carnaval, carnaval.
Ils ont couru sur les toits les funambules
et les rois tous habillés carnaval.
On a vu pousser des ailes aux tristes Polichinelles
à l'idée d'aller au bal
Au métro place d'Italie,
un terroriste attendri jouait de la mandoline.
On se montrait les divas
et le grand Casanova qui pose pour les magazines.
Mais il n'est pas encore l'heure car on attend le chanteur.

Le feu un beau jour est entré dans nos vies.
Ses yeux comme des étoiles aux lignes de la nuit.
Carnaval, carnaval.

Des gourous venus de chine avaient séduit Colombine
et se sauvaient en scooter.
Autour du grand échiquier les blancs
les noirs fatigués attendaient les reporters.
Les partisans de Guignol avaient traité de chiffe-molle
un membre du gouvernement.

Cependant qu'un homme de paille exerçait des représailles
et on craignait l'affrontement.

Mais il fait beau à cette heure voici venir le chanteur.
On n'a pas parlé des autres mais ils seront des nôtres
pourvu qu'ils le désirent.
Célébrons le mariage de l'amour et de l'orage
pour le meilleur et le pire.

Ils ont couru sur les toits les funambules
et les rois tous habillés carnaval.
On a vu pousser des ailes aux tristes Polichinelles
à l'idée d'aller au bal.
Carnaval.
Au métro place d'Italie,
un terroriste attendri jouait de la mandoline.
Carnaval.
On se montrait les divas
et le grand Casanova qui pose pour les magazines.
Carnaval.
Ils ont couru sur les toits les funambules
et les rois tous habillés carnaval.
Carnaval.
On a vu pousser des ailes aux tristes Polichinelles
à l'idée d'aller au bal.
Au métro place d'Italie,
un terroriste attendri jouait de la mandoline.

Carnaval

O fogo um belo dia entrou na vida.
Seus olhos como estrelas em um céu tranquilo.
Carnaval, carnaval.
Eles correram pelos telhados, os malabaristas
E os reis todos vestidos de carnaval.
Vimos crescer asas nos tristes Polichinelles
Com a ideia de ir ao baile.
No metrô da praça da Itália,
um terrorista emocionado tocava bandolim.
Mostramos as divas
E o grande Casanova que posa para as revistas.
Mas ainda não é hora, pois estamos esperando o cantor.

O fogo um belo dia entrou em nossas vidas.
Seus olhos como estrelas nas linhas da noite.
Carnaval, carnaval.

Gurus vindos da China tinham seduzido Colombina
E escapavam de scooter.
Ao redor do grande tabuleiro, os brancos
Os negros cansados esperavam os repórteres.
Os partidários de Guignol chamaram de frouxo
Um membro do governo.

Enquanto um homem de palha exercia represálias
E temíamos o confronto.

Mas está bonito agora, aqui vem o cantor.
Não falamos dos outros, mas eles serão nossos
Desde que queiram.
Vamos celebrar o casamento do amor e da tempestade
Para o melhor e para o pior.

Eles correram pelos telhados, os malabaristas
E os reis todos vestidos de carnaval.
Vimos crescer asas nos tristes Polichinelles
Com a ideia de ir ao baile.
Carnaval.
No metrô da praça da Itália,
um terrorista emocionado tocava bandolim.
Carnaval.
Mostramos as divas
E o grande Casanova que posa para as revistas.
Carnaval.
Eles correram pelos telhados, os malabaristas
E os reis todos vestidos de carnaval.
Carnaval.
Vimos crescer asas nos tristes Polichinelles
Com a ideia de ir ao baile.
No metrô da praça da Itália,
um terrorista emocionado tocava bandolim.

Composição: